Moi je n’étais rien et voilà qu’aujourd’hui,
Je suis le gardien du sommeil de ses nuits. Je l’aime à mourir
Vous pouvez détruire tout ce qui vous plaira
Elle n’a qu’à ouvrir l’espace de ses bras
Pour tout reconstruire. Pour tout reconstruire. Je l’aime à mourir
Elle a gommé les chiffres des horloges du quartier
Elle a fait de ma vie des cocottes en papier, des éclats de rire
Elle a bâti des ponts entre nous et le ciel
Et nous les traversons à chaque fois qu’elle
Ne veut pas dormir. Ne veut pas dormir. Je l’aime à mourir
Refrain
Elle a dû faire toutes les guerres pour être aussi forte aujourd’hui,
Elle a dû faire toutes les guerres de la vie et l’amour aussi.
Elle vit de son mieux ses rêves d’opaline
Elle danse au milieu des forêts qu’elle dessine. Je l’aime à mourir
Elle porte des rubans qu’elle laisse s’envoler
Elle me chante souvent que j’ai tort d’essayer
De les retenir. De les retenir. Je l’aime à mourir
Pour monter dans sa grotte cachée sous les toits
Je dois clouer des notes à mes sabots de bois. Je l’aime à mourir
Je dois juste m’asseoir, je ne dois plus parler,
Je ne dois rien vouloir, je dois juste essayer
De lui appartenir. De lui appartenir.
Je l’aime à mourir
Refrain…
Elle a dû faire toutes les guerres pour être aussi forte aujourd’hui,
Elle a dû faire toutes les guerres de la vie et l’amour aussi.
Moi je n’étais rien et voilà qu’aujourd’hui,
Je suis le gardien du sommeil de ses nuits. Je l’aime à mourir
Vous pouvez détruire tout ce qui vous plaira
Elle n’a qu’à ouvrir l’espace de ses bras
Pour tout reconstruire. Pour tout reconstruire. Je l’aime à mourir
Nenhum comentário:
Postar um comentário