terça-feira, 30 de novembro de 2010

“Putrefação”, 2009. Mariana Hardman

Fonte body and profane art

Francis Cabrel Je l'aime à mourir

Je l’aime à mourir

Moi je n’étais rien et voilà qu’aujourd’hui,

Je suis le gardien du sommeil de ses nuits. Je l’aime à mourir

Vous pouvez détruire tout ce qui vous plaira

Elle n’a qu’à ouvrir l’espace de ses bras

Pour tout reconstruire. Pour tout reconstruire. Je l’aime à mourir



Elle a gommé les chiffres des horloges du quartier

Elle a fait de ma vie des cocottes en papier, des éclats de rire

Elle a bâti des ponts entre nous et le ciel

Et nous les traversons à chaque fois qu’elle

Ne veut pas dormir. Ne veut pas dormir. Je l’aime à mourir



Refrain



Elle a dû faire toutes les guerres pour être aussi forte aujourd’hui,

Elle a dû faire toutes les guerres de la vie et l’amour aussi.



Elle vit de son mieux ses rêves d’opaline

Elle danse au milieu des forêts qu’elle dessine. Je l’aime à mourir

Elle porte des rubans qu’elle laisse s’envoler

Elle me chante souvent que j’ai tort d’essayer

De les retenir. De les retenir. Je l’aime à mourir



Pour monter dans sa grotte cachée sous les toits

Je dois clouer des notes à mes sabots de bois. Je l’aime à mourir

Je dois juste m’asseoir, je ne dois plus parler,

Je ne dois rien vouloir, je dois juste essayer

De lui appartenir. De lui appartenir.



Je l’aime à mourir



Refrain…



Elle a dû faire toutes les guerres pour être aussi forte aujourd’hui,

Elle a dû faire toutes les guerres de la vie et l’amour aussi.



Moi je n’étais rien et voilà qu’aujourd’hui,

Je suis le gardien du sommeil de ses nuits. Je l’aime à mourir

Vous pouvez détruire tout ce qui vous plaira

Elle n’a qu’à ouvrir l’espace de ses bras

Pour tout reconstruire. Pour tout reconstruire. Je l’aime à mourir